« La fête de l’Amour », par Lourenço Mueller
« O que os olhos nao vejam/O coraçao sente ». Les vers du sambista Adoniran Barbosa résonnent, pour toujours, dans l’oreille de tout Brésilien. Plus modestement, l’oeil du flâneur s’est arrêté sur la prose pertinente de Lourenço...
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