Business man brésilien, pseudo cinéaste
« Faire des films pour moi, c’est les faire en anglais, pour une question pratique. Pour tourner en portugais, entre cinéma et télévision, je préfère tourner pour la télévision, car cela se finance plus rapidement. Un grand succès en salle, au Brésil, a trois millions de spectateurs. S’il fait un bide à la télé, le film en a dix-huit millions. Donc je préfère le bide à télévision que le succès au cinéma ».
Fernando Meirelles, dans un entretien à la revue dominicale et bahianaise Muito, datée du 3 janvier 2010, recueillie par le journaliste Lucas Cunha.
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